CFP 06.01.2015

Voir/ Sehen (Eichstätt, 11-15 May 15)

Eichstätt, Katholische Universität Eichstätt-Ingolstadt, 11.–15.05.2015
Eingabeschluss : 02.02.2015

Christian Sauer

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Appel à candidatures

Voir

- Tel est le thème de la XIIIe École Internationale de Printemps du Réseau international de formation en histoire de l'art (proartibus.net) qui aura lieu dans la semaine du 11 au 15 mai 2015 à Eichstätt en Bavière.

La vision n'est pas l'enregistrement passif du monde extérieur entrant dans notre conscience à travers les fenêtres de nos yeux. Ce n'est pas une donnée au sens d'un input. De plus, il ne suffit pas de rappeler que voir suppose du temps pour considérer la vision comme un processus. Les données recueillies par les sens ne produisent pas toujours les mêmes effets sur les mêmes individus et dans les mêmes circonstances. Voir ne se déroule pas selon un automatisme déclenché, pour ainsi dire, par les données de sens. Voir est une activité qui dépend de l'éducation, de formations culturelles, de pratiques et de disciplines, de médias et de dispositifs. C'est en tant qu'elle est une activité, prise dans ses conditionnements historiques, que ce colloque voudrait saisir la question de la vision.

À travers les images et les œuvres d'art, on réfléchit longtemps sur cette activité de l’aisthesis, c'est-à-dire d’une intelligence propre à toute perception visuelle. Pourtant, cette École de Printemps ne mettra pas l’accent une fois de plus sur l'image. On évitera la question « Qu'est-ce qu'une image ? », entendue de manière ontologique, anthropologique et universelle. Sceptiques vis-à-vis de définitions métahistoriques de l'image en tant que telle, nous nous placerons au cœur de la vision, et des pratiques dans lesquelles elle s'inscrit. Personne n'a jamais vu ni une donnée des sens ni le monde au singulier. Dans la mesure où l'on ne saurait exclure – lors de l'École de Printemps Voir – quelques termes généraux tels que la forme, le sujet, le monde, la vision ou l'image, ce sera en scrutant leur importance dans le contexte d'usages historiques que l'on procédera.

Comment a-t-on conçu la vision, comment a-t-on envisagé sa définition ? Comment en a-t-on mis en place l'éducation ? Dans quels discours les pratiques de la vision ont-elles été inscrites et dans quels dispositifs se sont-elles sédimentées ? Apprendre à dessiner ou à peindre, cela signifie – et signifiait – aussi aiguiser la vision et la conditionner. Les pratiques de l'enseignement des beaux-arts – depuis l'anatomie artistique jusqu'à la peinture d'histoire, depuis la perspective jusqu'au paysage – sont donc des pistes susceptibles d'être abordées par l'École de Printemps, pour autant qu'elles soient traitées par rapport à l'éducation du regard. Mais on discutera également de questions telles que les méta-poétiques de la vision, c'est-à-dire la vision théorisée dans l'art même – des images dans les images aux images rémanentes, des trompe-l'œil aux démonstrations visuelles de la mimésis, et du pouvoir des médias visuels. Quelques grands concepts – et des métaphores non moins puissantes – sont au centre de certains discours historiques sur la vision. L'imagination et la fantaisie, la clarté et l'évidence, la sensation et la perception, la création et la fiction sont des mots-clefs à travers lesquels on a, pendant des siècles, réorienté le débat autour de différentes activités liées à la vision. Des métaphores, telles que l'évidence, la Stimmung, qui se comprend en français comme « atmosphère », la synesthésie et les « correspondances », ont eu des parcours historiques moins universels. Les ombres et les images dans les miroirs ont toujours fait partie de l'éducation du regard ; mais ni les unes ni les autres ne peuvent s'émanciper de leur captivité dans l'image et se doter d'une vie indépendante. En tant que Doppelgänger, Vampires et Avatars, s'y manifeste une réflexion sur la vision dans la narration visuelle même.

L'art par rapport à l'histoire philosophique et scientifique de l'optique sera un sujet important. L'histoire des sciences nous permet de jeter un nouveau jour sur des questions telles que la vision et l'aveuglement, l'attention et la mémoire visuelle. La physiologie des organes des sens et les neurosciences seront étudiées par rapport aux instruments optiques et aux machines, voire aux suppléments aussi bien de la vision que de la projection. Des spécialistes philosophes, historiens des sciences et de la littérature dialogueront avec les historiens d'art sélectionnés par les comités nationaux du Réseau international de formation en histoire de l'art sur les procédés et les stratégies structurant les pratiques de l’Aisthesis.

Dans cet appel à candidatures, nous ne souhaitons pas suggérer des sections qui articuleraient la thématique. Ce seront les propositions les plus particulièrement intéressantes, révélatrices et originelles, qui guideront la structuration du programme. Notre fil conducteur sera de placer l'accent sur la vision en tant qu'activité, c'est-à-dire la vision toujours renouvelée dans ses pratiques, pratiques inscrites dans le contexte de toutes les autres activités culturelles.

La petite ville baroque d'Eichstätt, où aura lieu la semaine de printemps, est située au centre de la Bavière, entre Munich et Nuremberg, Augsbourg et Ratisbonne. Le campus de la Katholische Universität Eichstätt-Ingolstadt regroupe, autour d'un jardin du XVIIIe siècle, des bâtiments de toute première qualité construits de l'époque baroque à la période postmoderne et déconstructiviste. Elle nous servira de cadre pour des réflexions et des dialogues intenses, dans une rare atmosphère d'internationalité et d'intérêts interdisciplinaires.
Au nom des présidents et du bureau du Réseau International d'Histoire de l'Art (proartibus.net)
Michael F. Zimmermann
Professeur d'histoire de l'art, Katholische Universität Eichstätt-Ingolstadt

QUELQUES PRÉCISIONS:

BUT ET CARACTÈRE DE L'ÉCOLE INTERNATIONALE DE PRINTEMPS
L’École permet aux doctorants et post-doctorants d’horizons et de spécialisations divers de partager leurs recherches, leurs approches et leurs expériences dans un forum au cours duquel ils coopèrent avec des chercheurs avancés. Les programmes des précédentes Écoles de Printemps se trouvent sur le site www.proartibus.net. La participation à une École de printemps constitue l’un des compléments nécessaires à l’obtention d’une formation internationale en histoire de l’art. Nous recommandons aux candidats, doctorants et post-doctorants, de proposer des communications précises, en rapport avec leurs sujets de recherche, quelle que soit la période de l’histoire de l’art et le domaine qu’ils étudient, et quelles que soient les formes d’expression qu’ils souhaitent aborder.

PROCEDURE DE CANDIDATURE
L'appel à communications articles est mis en ligne sur les sites internet du Réseau (www.proartibus.net), de l'INHA (www.inha.fr), ainsi que sur celui du Zentralinstitut für Kunstgeschichte (zikg.eu), sur h.arthist et sur les sites des autres établissements membres du Réseau. Les étudiants de deuxième et troisième cycle – master, doctorat, post-doctorat – qui souhaitent participer sont priés de soumettre un projet de communication de 20 minutes au plus, accompagné d'un court CV précisant la ou les langue(s) étrangère(s) maîtrisées. Les propositions ne doivent pas faire plus de 1800 caractères ou 300 mots, et peuvent être rédigés en anglais, français, allemand ou italien. Elles doivent être soumises dans un document de format Word, et doivent comporter le nom du candidat, ses adresses (électronique et postale), ainsi que l'établissement et le pays dont il dépend. La proposition et le CV doivent être mis en pièce jointe à un courriel sous la forme d’un seul document. La ligne « sujet » du mail doit préciser le nom du candidat et le pays dans lequel il est inscrit. Les courriels sont à adresser à: edp2015ku.de avant le lundi 2 février 2015, dernier délai. Les propositions seront rassemblées, examinées et sélectionnées par pays. Les correspondants nationaux feront parvenir la liste des propositions acceptées, par courriel, au comité organisateur avant le 28 février 2015. Celui-ci, après consultation du comité scientifique du Réseau, se chargera d’établir le programme définitif de l’École. L’annonce de la sélection des participants sera diffusée mi-mars sur les sites du réseau, de l’INHA et des autres institutions membres du réseau. Les candidats retenus devront soumettre un résumé de 300 mots maximum, ainsi que sa traduction dans l'une des autres langues officielles du Réseau. Résumé et traduction doivent être envoyés avant le lundi 23 mars 2015 à : edp2015ku.de dans un document word. La maîtrise de deux langues pratiquées dans le Réseau est indispensable. Les participants des pays latins doivent maîtriser au moins d’une façon passive l’anglais ou l’allemand, et ceux des pays anglophones ou germanophones le français ou l’italien.

LES PROPOSITIONS POUR INTERVENIR A TITRE DE REPONDANT
Les étudiants ayant participé deux fois ou plus aux Écoles antérieures peuvent poser leur candidature à titre de répondant seulement. Nous encourageons de cette façon les jeunes chercheurs, post-doctorants et doctorants dont les recherches sont déjà avancées à participer aux Écoles en animant la discussion concluant chaque session. Les répondants feront un bilan critique de la session, poseront des nouvelles questions et élargiront le débat à d'autres problématiques, déjà évoquées ou non par les intervenants. Les répondants peuvent également ouvrir d'autres pistes afin de poursuivre la discussion dans les directions suggérées par leurs propres recherches.

Les personnes souhaitant participer à cette École à titre de répondant sont priées de déposer leur candidature en suivant les instructions précisées plus haut : en envoyant avant le 2 février 2015 un CV à leur correspondant national. Cependant, au lieu d'une proposition de communication, ils doivent présenter une brève lettre de motivation mettant en avant leurs compétences spécifiques.

PROPOSITIONS DE COMMUNICATIONS PAR LES PROFESSEURS
Comme chaque année, les professeurs du Réseau pourront soit proposer une communication, soit encadrer une séance à titre de président. Les enseignants souhaitant intervenir dans le programme sont priés de faire connaître leurs intentions au Comité Organisateur par courriel à l’adresse suivante avant le 2 février 2015 : michael.zimmermannku.de

CORRESPONDANTS NATIONAUX
Pour le Canada : Johanne Lamoureux (Paris, Institut national d'histoire de l'art) et Todd Porterfield (Université de Montréal) ; pour la France : Frédérique Desbuissons (Paris, Institut national d'histoire de l'art), Béatrice Joyeux-Prunel (École normale supérieure de Paris), Christian Joschke et Ségolène Le Men (Université Paris Ouest Nanterre La Défense) ; pour l'Allemagne : Thomas Kirchner (Paris, Deutsches Forum für Kunstgeschichte) et Michael F. Zimmermann (Katholische Universität Eichstätt-Ingolstadt) ; pour la Grande-Bretagne : David Peters-Corbett et Bronwen Wilson (Norwich, University of East Anglia) ; pour l'Italie : Marco Collareta (Università di Pisa) et Maria Grazia Messina (Università degli studi di Firenze) ; pour la Suisse : Jan Blanc (Université de Genève) ; pour les États-Unis, Henri Zerner (Harvard University) ; pour le Japon, Atsushi Miura (Université de Tokyo)

ORGANISE PAR :
Réseau International de la Formation à la Recherche en Histoire de l’Art
The International Consortium of Art History (www.proartibus.net)

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„Sehen“

– dies ist das Thema der XIII. Internationalen Frühjahrsakademie des Internationalen Netzwerks für Kunstgeschichte (Réseau international de formation en histoire de l'art; www.proartibus.net). Sie findet vom 11. bis zum 15. Mai 2015 in Eichstätt/Bayern statt.

Sehen ist nicht die passive Aufnahme der Außenwelt, die durch das Fenster unserer Augen in das Bewusstsein eintritt, oder eine Vermittlung von Daten, die uns als bloßer Input gegeben wären. Auch reicht es nicht aus, die temporale Dimension hinzuzufügen und Sehen als Prozess zu betrachten. Ähnliche Sinnesreize führen bei verschiedenen Individuen und in unterschiedlichen Umständen zu jeweils anderen Wahrnehmungserlebnissen. Sehen läuft nicht wie ein Automatismus ab, der durch die Sinnesdaten sozusagen nur ausgelöst würde. Vielmehr ist Sehen eine Tätigkeit, die durch Erziehung und kulturelle Praxen, Verfahren und Regelwerke, Medien und Dispositive geprägt und gebildet wird. Als Handlung soll das Sehen in seiner jeweiligen historischen Bedingtheit in den Blick genommen werden.

Anhand von Bildern und Kunstwerken hat man lange über die Aktivität der Aisthesis nachgesonnen – über die Erkenntnis und die Intelligenz, die der visuellen Wahrnehmung eingeschrieben ist. Der Akzent dieser Frühjahrsakademie wird nicht einmal mehr auf dem Bild liegen. Die Frage "Was ist ein Bild?" wird vielmehr ausgeklammert, jedenfalls insofern, als damit zur Suche nach ontologisch oder anthropologisch verallgemeinernden Antworten aufgefordert wird. Skeptisch gegenüber metahistorischen Definitionen des Bildes als solchem, werden wir uns in die Mitte der visuellen Aktivität platzieren, und die Praktiken, an denen sie teilhat, gemäß ihren impliziten Spielregeln betrachten. Niemand hat jemals ein Sinnesdatum gesehen, niemand die Welt im Singular. Wenn auf dieser Frühjahrsakademie allgemeine Termini wie die Form, das Sujet, die Welt, das Sehen, das Bild verwendet werden, so mit dem Ziel, ihren Stellenwert im Rahmen historischer Praxen und Diskurse auszuloten.

Wie hat man das Sehen aufgefasst? Wie wurden visuelle Fähigkeiten geschult? In welchen Verfahren und Diskursen waren sie eingeschrieben? In welchen Dispositiven wurden sie sedimentiert? Zeichnen oder Malen zu lernen bedeutet – und bedeutete – stets auch, die Beobachtungsgabe zu schärfen, sie zuzurichten. Die Methoden des Unterrichts der schönen Künste – von der Anatomie zur Historienmalerei, von der Perspektive zur Landschaft – sind daher ein möglicher Gegenstand, sofern sie mit Blick auf die Erziehung des Sehens untersucht werden. Diskussionsgegenstand ist jedoch auch die Meta-Poetik des Sehens, also das Sehen, das in der Kunst selbst theoretisch erschlossen wird – von den Bildern in Bildern zu Nachbildern, vom Trompe-l'œil zu visuellen Demonstrationen der Mimesis in den jeweils unterschiedlichen Kunstgattungen und Medien. Einige herausragende Begriffe – und einige nicht weniger mächtige Metaphern – stehen im Zentrum bestimmter historischer Diskurse über das Sehen. Konzepte wie Imagination und Phantasie, Klarheit und Evidenz, Empfindung und Wahrnehmung, Kreation und Fiktion sind Schlüsselbegriffe, mit denen man über Jahrhunderte hinweg die Debatte über unterschiedliche Verfahren der sinnlichen Erkenntnis neu orientiert hat.
Metaphern wie Evidenz, Stimmung (in anderen Sprachen als „atmosphère“ oder „mood“ übersetzt), Synästhesie und Korrespondenzen sind jüngeren Datums. Schatten und Spiegelbilder spielten bei der Erziehung des Blicks stets eine Rolle; doch weder die einen noch die anderen können sich von ihrer Gefangenschaft im Bild befreien und ein eigenes Leben führen. Als Doppelgänger, Vampire und Avatare tragen sie die Reflexion über das Sehen jedoch in die Bilderzählung selbst hinein. Die Kunst in ihrem Verhältnis zur philosophischen und wissenschaftlichen Optik wird ein wichtiges Thema sein. Die Wissensgeschichte und die historische Epistemologie vermitteln neue Aufschlüsse zu Einsicht und Blindheit, Aufmerksamkeit und visuellem Gedächtnis. Vielversprechend sind auch Untersuchungen zur Geschichte der Physiologie der Sinnesorgane und der Hirnforschung – oder der optischen Geräten und der Maschinen zur Supplementierung des Sehens und der Projektion. Über die Verfahren und Strategien der Aisthesis werden Philosophen, Wissenschafts- und Literaturhistoriker mit den Kunsthistorikern ins Gespräch kommen, die von den Nationalkomitees des Internationalen Netzwerks für Kunstgeschichte ausgewählt werden.

In dieser Ausschreibung werden noch keine Vorschläge für thematische Sektionen unterbreitet. Die besonders interessanten, anregenden oder originellen Vorschläge werden uns leiten, wenn es darum geht, die Veranstaltung sinnvoll zu strukturieren. Stets behalten wir dabei das Kernanliegen im Auge, die Untersuchung des Sehen als Aktivität, betrachtet im Rahmen der historischen Praxen, denen es eingeschrieben war und ist.

Die kleine Barockstadt Eichstätt, wo die einwöchige Begegnung ausgerichtet wird, liegt im Herzen Bayerns zwischen München und Nürnberg, Augsburg und Regensburg. Der Campus der Katholischen Universität Eichstätt-Ingolstadt versammelt um einen Garten aus dem 18. Jahrhundert Bauten hervorragender Qualität – vom Rokoko zur Postmoderne und zum Dekonstruktivismus. An der Sprecheruniversität des Studiengangs Aisthesis. Historische Kunst- und Literaturdiskurse werden auch Masterstudierende von den verschiedenen Partneruniversitäten, die an dem Curriculum teilnehmen, in die Debatten einbezogen. Der barock-moderne Campus um seinen blühenden Garten gibt den Rahmen für intensives, dialogisches Nachdenken ab – in einer von Internationalität und Interdisziplinarität geprägten Atmosphäre.
Im Namen der Präsidenten und des Komitees des Internationalen Netzwerks für Kunstgeschichte (www.proartibus.net)
Michael F. Zimmermann
Lehrstuhl für Kunstgeschichte, Katholische Universität Eichstätt-Ingolstadt

Nähere Angaben und Erläuterungen

Ziel und Charakter der Internationalen Frühjahrsakademie
Die internationale Frühjahrsakademie richtet sich an fortgeschrittene Magistranden, Promovierende und Post-Docs mit unterschiedlichen Perspektiven und Spezialisierungen. Gemeinsam mit weiter fortgeschrittenen Wissenschaftlern ermöglicht sie einen Austausch der Forschungen, der methodischen Ansätze und der Erfahrungen. Themen und Veranstaltungsprogramme früherer Frühjahrsakademien finden Sie auf der Seite www.proartibus.net. Die Teilnahme an einer Frühjahrsakademie stellt eine nützliche Ergänzung im Rahmen eines international ausgerichteten Kunstgeschichtsstudiums dar. Die Teilnahme an Frühjahresakademien stellt eine nützliche Ergänzung im Rahmen eines international ausgerichteten Kunstgeschichtestudiums dar. Fortgeschrittene Magistranden, Promovierende und Habilitanden werden ermutigt, Themenvorschläge einzureichen, die mit ihrem Forschungsthema, ihrer historische Epoche, ihrem Forschungsfeld und ihrer gewünschte Präsentationsform in engem Bezug stehen.

Bewerbung und Auswahlverfahren
Die Ausschreibung wird online auf der Website des Internationalen Netzwerkwerks für Kunstgeschichte (www.proartibus.net), dem INHA (www.inha.fr) sowie anderer Institutionen des Netzwerks erscheinen. Magistranden, Promovierende und Habilitanden, die an der Frühjahrsakademie teilnehmen möchten, werden gebeten, einen Vorschlag für einen Vortrag von maximal 20 Minuten Länge einzureichen. Der Bewerbung ist bitte ein kurzer Lebenslauf beizufügen, der auch Informationen über ihre Fremdsprachenkenntnisse enthält. Die Beiträge sollten nicht mehr als 1800 Zeichen bzw. 300 Wörter umfassen. Sie können in Englisch, Französisch, Deutsch oder Italienisch verfasst sein. Sie sollten in einem Worddokument eingereicht werden, und sollten sowohl den Namen des Bewerbers, die Adresse (elektronisch und postalisch), die Institution und das Herkunftsland des Bewerbers beinhalten.
Der Vorschlag und der Lebenslauf müssen als ein einziges Dokument als Anhang einer Email beigefügt werden. In der Betreffzeile der Email sollten sowohl der Name der Bewerberin / des Bewerbers als auch das Herkunftsland genannt werden. Senden Sie Ihre Bewerbung bis einschließlich Montag, den 02. Februar 2015 an folgende Adresse: edp2015ku.de.

Die Vorschläge werden von den einzelnen Ländern des Netzwerks begutachtet und ausgewählt. Die nationalen Ansprechpartner werden die Liste der ausgewählten Beiträge spätestens zum 28. Februar 2015 via Email zum Organisationskomitee schicken. Das Organisationskomitee wird, nach Rücksprache mit dem wissenschaftlichen Komitee des Netzwerks, das Programm der Frühjahresakademie erstellen. Die Bekanntgabe der Auswahl der Bewerber für die Frühjahrsakademie wird Mitte März auf den Seiten des Netzwerks, www.proartibus.net, des INHA, und der anderen Seiten der Institutionen des Netzwerks erfolgen.

Erfolgreiche Bewerber werden gebeten, ein Abstract von maximal 300 Wörtern sowie eine Übersetzung dieses Abstracts in eine der offiziellen Sprachen des Netzwerks bereitzustellen. Das Abstract und die Übersetzung müssen als ein Word-Dokument gemeinsam mit einer Powerpoint-Präsentation bis zum 23. März 2015 an folgende Adresse geschickt werden: edp2015ku.de.

Die Kenntnis zweier Sprachen ist im Netzwerk unerlässlich. Teilnehmer aus den romanischen Sprachgebieten sollten Englisch oder Deutsch beherrschen, englische und deutsche Teilnehmer entweder Französisch oder Italienisch.

Bewerbungen als Diskutanten
Studierende, die bereits an zwei oder mehr früheren Frühjahrsakademien teilgenommen haben und erneut teilnehmen möchten, können sich lediglich als Diskutanten bewerben. Außerdem können junge Wissenschaftler, Doktoranden und Postdoktoranden, deren Forschungen bereits weit fortgeschritten sind, sich ebenfalls an der Frühjahrsakademie als Diskutanten beteiligen. Aufgabe der Diskutanten ist es, am Ende der Sektionen die Diskussionen zu beleben, durch alternative Erklärungen zu bereichern und vor dem Hintergrund ihrer eigenen Forschungen neue Perspektiven aufzuzeigen. Interessierte, die an der Frühjahrsakademie als Diskutanten teilnehmen möchten, werden gebeten, sich bis zum 02. Februar 2015 bei ihrem nationalen Ansprechpartner entsprechend der oben genannten formalen Hinweise zu bewerben. Gewünscht wird ein kurzer Lebenslauf und an Stelle des Vorschlags für einen Vortrag soll ein kurzes Motivationsschreiben eingereicht werden, das ihre Kompetenzen in Bezug auf die Fragestellung der Frühjahrsakademie herausstellt.

Vortragsvorschläge von Professoren
Die Professoren des Netzwerkes können, wie jedes Jahr, einen eigenen Vortrag vorschlagen oder eine Sektion leiten. Diejenigen, die sich aktiv an dem Programm beteiligen möchten, werden gebeten, dies dem Organisationskomitee bis zum 02. Februar 2015 durch eine E-mail an folgende Adresse mitzuteilen: michael.zimmermannku.de

Nationale Ansprechpartner
Für Kanada: Johanne Lamoureux (Paris, Institut national d'histoire de l'art) und Todd Porterfield (Université de Montréal); für Frankreich: Frédérique Desbuissons (Paris, Institut national d'histoire de l'art), Béatrice Joyeux-Prunel (École normale supérieure de Paris), Christian Joschke und Ségolène Le Men (Université Paris Ouest Nanterre La Défense); für Deutschland: Thomas Kirchner (Paris, Deutsches Forum für Kunstgeschichte) und Michael F. Zimmermann (Katholische Universität Eichstätt-Ingolstadt); für Großbritannien: David Peters-Corbett und Bronwen Wilson (Norwich, University of East Anglia) ; für Italien: Marco Collareta (Università di Pisa) und Maria Grazia Messina (Università degli studi di Firenze); für die Schweiz: Jan Blanc (Université de Genève); für die USA: Henri Zerner (Harvard University ; für Japan, Atsushi Miura (Université de Tokyo).

Organisation
Réseau International de la Formation à la Recherche en Histoire de l'Art / The International Consortium of Art History / Internationales Netzwerk für Kunstgeschichte (www.proartibus.net)

Quellennachweis:
CFP: Voir/ Sehen (Eichstätt, 11-15 May 15). In: ArtHist.net, 06.01.2015. Letzter Zugriff 31.05.2025. <https://arthist.net/archive/9166>.

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